Namaskar!

Bonjour à vous, Padharo ! Je suis Mathini, une française vivant au Rajasthan depuis 10 ans. Imprégnée de la culture de l'Inde depuis mon plus jeune âge, ce n'est cependant qu'en 2014 que mon aventure indienne commence réellement : je laisse tout derrière moi et pars pour un voyage de 6 ans à la (re)découverte du pays de Gandhi. De ces aventures est né ce blog (et une agence de voyage : Mathini Travel), témoignage de l’incroyable richesse culturelle de l’Inde. Et si cela peut susciter en vous quelques échappées indiennes, alors mon but sera atteint. Bon voyage sur ce site et belles pérégrinations en terre sacrée de Bharat.

Originaire de l’état du Bihar, au nord-est de l’Inde, le festival « Chhath Puja » célèbre et remercie Surya et Usha, le dieu-soleil et la déesse de l’aube, sources de vie et d’énergie primordiale. Cet hommage au soleil intervient juste après la fête des lumières (Diwali) en octobre-novembre et est l’occasion de rituels élaborés remontant à l’Inde ancienne. 

A chaque nouvelle lune du mois de Karthik (oct-nov) a lieu Diwali ou Deepavali, l’une des plus grandes fêtes hindoues. Connue aussi comme la « fête des lumières », elle symbolise la victoire de la lumière sur les ténèbres, de la connaissance sur l’ignorance. Diwali vient du mot sanscrit Dipavali, « dipa » signifiant lampe ou lumière et « avali », série ou ligne. Diwali est donc traduit littéralement par « une série de lumières ». Lors de ce festival, les villes brillent de mille feux et une ambiance féerique et joyeuse règne.

Pour une raison que j’ignore, certains guides font l’impasse sur les chhatardis de Bhuj. Et, pour peu qu’on soit mal renseigné par les locaux, on pourrait passer à côté de ces remarquables cénotaphes édifiés en mémoire des Maharaos Jadejas du district de Kutch au Gujarat.

Situé à Rapar Taluka, à l’Est du district de Kutch (Gujarat) et à une heure et demie du site archéologique de Dholavira, Vrajvani est un temple très vénéré, tout particulièrement par la communauté Ahir. Ce sanctuaire est absolument unique en Inde dans le sens où il abrite 140 statues grandeur nature de femmes.

Ganesha, reconnaissable à sa tête d’éléphant, est un des dieux majeurs du panthéon hindou. Vénéré en tout premier avant chaque rituel ou entreprise, il est le dieu de la sagesse, celui qui enlève les obstacles sur les chemins hasardeux du grand voyage de la vie.

Harshnath, situé sur la colline Aravalli de Harshagiri, à 900 mètres d’altitude, est la belle surprise archéologique du district de Sikar (Rajasthan). Cet ensemble de temples dont le plus ancien remonte au 10e siècle de notre ère est encore peu connu des voyageurs ; il a pourtant tout pour plaire aux amoureux de belles pierres et je ne manque jamais de l’ajouter dans mes circuits de la région du Shekhawati.

Radhakrishna représente l’union unique de la déesse-gopi Radha et de son bien-aimé Krishna, deux divinités hautement vénérées dans l’hindouisme. Radhakrishna n’est pas une quelconque relation amoureuse ou la simple combinaison du féminin et du masculin : elle symbolise avant tout l’âme en quête de l’amour Divin.

Ce n’est plus un secret, la région du Shekhawati est un de mes coups cœur absolus au Rajasthan. C’est non seulement la terre natale de ma belle-famille, mais c’est surtout un trésor inépuisable de bijoux architecturaux. Le temple de Khemka Shani situé dans la cité de Ramgarh, à deux heures de Jaipur, fait partie de ces joyaux merveilleux.

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